dock flottant
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CG : nm

S : http://www.crhq.cnrs.fr/cahiers/page-article.php?num=311&ch=6 (consulté le 31.01.2014) ; http://www.meretmarine.com/fr/content/toulon-arrivee-prochaine-du-dock-flottant-pour-la-deconstruction-de-vielles-coques (consulté le 31.01.2014).

N : 1. XVIIe siècle. Emprunté de l’anglais dock, « bassin pour le déchargement des navires à marée basse » + flottant, XVIe siècle. Participe présent de flotter. Dock flottant, bassin de radoub mobile et flottant.
2. Bassin de radoub flottant constitué par un caisson métallique horizontal, flanqué de deux caissons verticaux (bajoyers) construits sur ses bords.
3. Il possède des ballasts permettant de l’immerger partiellement et des pompes pour le remonter lorsque le navire à réparer est à poste. Un tel dock est dit autonome ; il n’y a pas de limites à ses dimensions qui peuvent être prévues pour les plus forts tonnages.
4. Termes privilégiés : dock flottant, cale flottante. L’expression proposée est tout indiquée pour désigner l’engin de radoub flottant puisque l’on appelle « cale sèche » les formes de radoub construites à demeure.
5. Termes à usage restreint : bassin flottant, chantier à flot.
5. Construction flottante qui permet de soulever les navires pour les mettre à sec pour le carénage.
6. Les docks flottants, généralement en acier, sont constitués par une plate-forme horizontale flanquée de deux caissons longitudinaux; par manoeuvre d’eau dans les ballasts l’ensemble peut être immergé à une profondeur telle que la plate-forme soit à une immersion inférieure au tirant d’eau du navire à caréner : par manoeuvre inverse la plate-forme émerge mettant à sec le navire.
7. dock flottant : terme uniformisé par le Comité de normalisation de la terminologie navale.

S : 1. DAF. 2, 3, 4 et 5. GDT. 5, 6 et 7. TERMIUMPLUS.

SYN :
S :

RC : cale sèche