CG : nf
S : OMS – http://apps.who.int/iris/bitstream/10665/36868/1/WHO_TRS_89_fre.pdf (consulté le 7.09.2015) ; http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=19762120 (consulté le 8.07.2012).
N : En matière d’éducation sanitaire, il faut viser sur le long terme, et pour cela collaborer étroitement avec les enseignants, tout en ayant une approche globale de tous les problèmes d’hygiène. Les enfants ont un rôle primordial dans la diffusion des messages de sensibilisation à l‘hygiène.
Lorsque l’on souhaite réaliser la chloration d’un point d’eau, toute précipitation risque d’induire des effets pervers. En effet, les usagers peuvent considérer que le chlore est le « médicament de l’eau », que l’eau ne craint plus de contamination car elle est définitivement protégée. La chloration nécessite donc une éducation et une sensibilisation préalables de l’ensemble de la population concernée, y compris les responsables locaux, et elle doit être demandée par la communauté.
Par exemple, les pots chlorateurs en fond de puits ont été un échec, ceux-ci ayant été installés par le ministère de la Santé sans avoir suffisamment impliqué la population et surtout sans que la demande vienne des usagers.
S : http://hmf.enseeiht.fr/travaux/CD0304/optsee/bei/5/binome5/avapro/avapro7.htm (consulté le 7.09.2015)
SYN : éducation pour la santé ; éducation socio-sanitaire.
S : GDT ; http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=19762120 (consulté le 8.07.2012).
RC : santé