CG : nf
S : http://www.journaldequebec.com/2011/03/11/un-seisme-de-magnitude-89-sur-lechelle-de-richter-a-de-quoi-inquieter (consulté le 4.07.2015) ; http://www.futura-sciences.com/magazines/terre/infos/dico/d/structure-terre-echelle-richter-2006/ (consulté le 4.07.2015).
N : 1. L’échelle de Richter tire son nom de celui qui l’a conçue, Charles Francis Richter.
2. L’échelle de Richter mesure la magnitude des séismes, contrairement à l’échelle de Mercalli qui en mesure l’intensité, c’est-à-dire les effets ressentis et les dégâts causés en un lieu donné.
L’échelle de Richter est une échelle ouverte, c’est-à-dire qu’elle n’a pas, théoriquement, de limite supérieure. Il est extrêmement rare, cependant, que les magnitudes enregistrées dépassent 8,0.
Telle qu’elle avait été conçue, dans les années 30, l’échelle de Richter ne permettait de mesurer les séismes que dans certaines conditions précises (en matière de distance, d’instruments de mesure et de composition du sol, notamment). Lorsque ces conditions diffèrent, certaines corrections doivent être apportées dans le calcul de la magnitude. La méthode de mesure a donc, par la suite, été adaptée pour pouvoir s’appliquer à d’autres circonstances. Ces variantes ont ainsi reçu d’autres désignations : échelle de magnitude des ondes de surface, échelle de magnitude des ondes de volume, échelle de magnitude du moment sismique, échelle de Nuttli, etc.
3. Mode de classement des séismes en fonction de critères déterminés. Les échelles de Richter et de Mercalli servent à mesurer respectivement la magnitude et l’amplitude d’un séisme.
S : 1 et 2. GDT (consulté le 4.07.2015). 3. CNRTL – http://cnrtl.fr/definition/academie9/%C3%89chelle (consulté le 4.07.2015).
SYN : échelle de magnitude de Richter, échelle Richter.
S : GDT (consulté le 4.07.2015)
RC : épicentre, hypocentre, séisme.