CG : nf
S : http://www.em-consulte.com/rmr/article/144103 (consulté le 10.04.2016) ; http://www.revmed.ch/rms/2002/RMS-2378/21934 (consulté le 10.04.2016).
N : 1. Étymol. et Hist. a) 1752 « capacité de recevoir (des impressions, etc.) » (Trév.) ; b) 1788 « disposition à s’offenser trop aisément » (Fér. Crit.); c) 1890 susceptibilité magnétique (Lar. 19eSuppl.). Dér. sav. de susceptible*; suff. -ité*.
2. Sensibilité particulièrement vive.
- Disposition d’un organe, d’un organisme à être facilement affecté par des maladies. Susceptibilité pathologique, familiale.
3. « réceptivité » (dans le domaine de la Médecine) : Facilité plus ou moins grande avec laquelle l’organisme se laisse envahir par l’infection.
Contraire d’« immunité ».
Généralement il s’agit d’une maladie infectieuse.
4. « susceptibilité » (dans le domaine de la Médecine > Oncologie) : État de réceptibilité ou de sensibilité particulièrement vives.
S : 1 et 2. CNRTL – http://www.cnrtl.fr/lexicographie/susceptibilit%C3%A9 (consulté le 10.04.2016). 3 et 4. GDT – http://www.granddictionnaire.com/ficheOqlf.aspx?Id_Fiche=8408576 ; http://www.granddictionnaire.com/ficheOqlf.aspx?Id_Fiche=17060399 (consulté le 10.04.2016).
SYN : sensibilité (en fonction du domaine et du contexte)
S : IATE – http://goo.gl/N9tcO7 (consulté le 10.04.2016)
RC : susceptible