CG : nm
S : INSERM – http://www.inserm.fr/ezantidot/search (consulté le 7.12.2013) ; DAM.
N : 1. Préparation, généralement liquide, destinée au traitement local des affections oculaires.
2. Les collyres sont la principale forme d’administration de médicaments oculaires, qu’il s’agisse d’antibiotiques, de médications antiglaucomateuses, d’anti-inflammatoires, de corticoïdes, etc.
3. XIIe siècle, collire. Emprunté du latin collyrium, « onguent », du grec kollurion, « emplâtre, onguent ».
MÉD. Médicament liquide qu’on applique sur la conjonctive de l’œil. Instiller trois gouttes de ce collyre matin et soir.
4. collyre : Médicament destiné à être placé sur l’oeil et plus spécialement sur la cornée. Il en existe trois variétés : 1) les collyres secs (qu’on insuffle avec une pipette de verre ou un insufflateur) ; 2) les mous ou pommades ; 3) les liquides (qu’on verse avec un compte-gouttes).
5. collyre : Expression utilisée dans les ordonnances par les professionnels de la santé.
6. gouttes ophtalmiques : Collyre liquide consistant en une solution ou suspension stérile aqueuse (contenant une ou plusieurs substances médicamenteuses), que l’on dépose en gouttes sur la cornée et dans les culs-de-sac conjonctivaux pour lutter contre une affection de l’oeil.
7. gouttes ophtalmiques : Il existe, en pharmacie, des larmes artificielles ou des gouttes lubrifiantes. Elles ne sont pas considérées comme des collyres, puisqu’elles ne contiennent pas de substances médicamenteuses servant à guérir une affection de l’oeil. Il s’agit plutôt de solutions décongestionnantes et antiseptiques dont le véhicule est souvent une eau distillée.
S : 1 et 2. DAM. 3. DAF. 4, 5, 6 et 7. GDT.
SYN : gouttes ophtalmiques
S : GDT